C’est d’être dans le moment présent bien sûr, ce qui n’est pas du tout évidement quand on est en pilotage automatique. On est tous perdus dans nos pensées, dans le mental et on a finalement du mal à être en lien avec nous-même, du fait de toutes les sollicitations qu’il peut y avoir autour de nous.
Et la deuxième composante, c’est cette idée d’être sans jugement : être dans le moment présent, sans avoir ce discours intérieur qui va juger et commenter en permanence.
C’est prendre conscience de ce discours intérieur.
Dans les neurosciences, différentes études parlent de 40 000 à 60 000 pensées par jour. Ça donne un ordre d’idée sur le fait que le mental est extrêmement présent. Il semblerait aussi qu’il y ait 40% de notre temps où nous ne sommes pas présents à nous-mêmes.