Soyons clair dès le départ : échouer, ça ne fait plaisir à personne, aussi optimiste qu’on puisse être ! On a tous le droit d’être déçu, découragé, en colère ou démuni face aux tribulations, inattendus ou calamités de la vie. Quand on se lance, c’est pour réussir.
En revanche, les optimistes ont cette capacité incroyable à vite transformer les échecs en apprentissages, en opportunités, ils voient parfois des signes qui confirment qu’ils sont sur la route du succès car ils savent que l’échec fait partie du chemin.
Au fond, un optimiste est probablement quelqu’un qui échoue plus souvent que la moyenne car il va essayer plus souvent, riche des expériences passées, il va réessayer autrement, plus intelligent, plus fort, plus sage de l’échec précédent.
Tout est dans la représentation que l’on se fait de l’échec. De la définition que l’on s’en fait. L’optimisme est cette capacité extraordinaire à arriver à donner du sens aux échecs. Il y a toujours une (bonne) leçon à en tirer.
Tout est dans ce sacro-saint « sens » que l’on donne, cette interprétation positive qui va l’aider à aller de l’avant. Mieux encore, d’arriver à transformer ses pépins… en pépites. Au fond, échouer est une information fabuleuse : celle qui démontre qu’on a osé !