[TEMOIGNAGE] Claire: "Nous ne connaissons pas tous les mystères de la vie"

Claire

Claire, une de nos lectrices, nous partage dans cette interview une rencontre qui va changer le regard qu’elle porte sur la vie. Alors qu’elle souffre de symptômes invisibles, elle fait la connaissance d’un énergéticien…Ingénieure et scientifique, elle se passionne depuis pour la physique quantique et tout ce qui a trait au développement personnel. Une belle invitation à expérimenter et à se questionner.

Bonjour Claire. Est-ce que tu peux te présenter en quelques mots ? 

Je suis Claire Marrec, j’ai 25 ans et je viens d’être diplômée d’une école d’ingénieur en génie industriel et management des risques. J’ai suivi un cursus très scientifique : un bac scientifique, suivi de 2 ans en maths sup maths spé avec une option physique chimie. Ce qui me plaisait le plus était de comprendre le fonctionnement du monde. Mais nous avions tellement de travail que je n’ai pu approfondir les sujets qui m’intriguaient particulièrement. 

Comment as-tu vécu tes études en école d’ingénieur ?

Après les concours, j’ai été admise dans l’école que je voulais, à Lille. Une partie de moi fuyait ma vie d’avant bien que le programme de l’école semblait intéressant. En 1ère année, nous étions 500 avec des classes de 80-90 élèves. C’est l’une des plus grandes écoles d’ingénieurs d’un point de vue associatif notamment et pourtant, je ne me sentais pas à l’aise dans cette atmosphère trop chiffrée pour ce que je cherchais au fond de moi.

Est-ce qu’un évènement particulier a bouleversé le déroulement de tes études ? 

Oui, des symptômes que l’on pourrait qualifier « invisibles », qui n’étaient pas perceptibles à l’extérieur mais c’était d’une violence inouïe. Les gens se permettaient souvent de me dire ce que je devais faire. Je me suis beaucoup isolée car je n’avais pas envie de déranger mais mon éloignement n’a pas toujours été compris notamment car j’en parlais peu. Au final, je me sentais très seule. L’ambiance de l’école, la santé et la vie Lilloise que je ne n’arrivais pas à suivre, ont fait que j’ai vécu plusieurs mois de dépression. Pour mes soucis de santé, les médicaments n’étaient plus efficaces et les effets secondaires jouaient sur mon moral.

Qu’est-ce qui va t’aider à remonter la pente?

Un énergéticien m’a fait un soin par téléphone. Il y a eu un premier échange à distance au cours duquel il m’a expliqué ce qui allait se passer. Ensuite, je me suis allongée et pendant 45 minutes j’ai ressenti énormément de choses physiquement : de la chaleur, des spasmes, de la froideur… et la douleur est partie alors même que les antibiotiques étaient inefficaces. Les quelques semaines suivantes, j’étais moins souffrante mais la douleur est revenue, bien que plus modérée, quelques temps après.

A la fin de l’année, j’ai décidé de rentrer pour reconsidérer l’école qui était juste à côté de la maison familiale, à Lorient. J’ai aussi pu travailler avec cet énergéticien et j’ai découvert d’autres méthodes comme l’EFT (Emotional Freedom Technique), le reiki mais également  la communication animale qui a été une expérience bluffante, surtout quand on est cartésienne.

Lors de toutes ces expériences, je me suis posée plusieurs questions : comment était-ce possible qu’on me stoppe des douleurs, à 800 kilomètres de distance ? Ou qu’on me stoppe une angoisse lié à une grave chute de cheval qui a failli mal tourner ? L’explication du placebo était trop facile vu l’impact radical et instantané. Et comment est-ce que j’ai pu expérimenter toutes ces choses “énergétiques” qui semblent totalement irrationnelles ? 

Et si nous ne savions pas tout ?

La maladie par laquelle tu es passée a-t-elle une « raison » pour toi ? 

Une maladie, c’est le « mal qui a dit ». C’est le corps qui veut traduire quelque chose. On retrouve souvent que les émotions sont qualifiées d’énergie. Et je pense qu’une maladie est une émotion qui est bloquée physiquement. J’ai appris à enfin entendre mon corps.

Cette expérience a-t-elle changé le regard que tu portes sur toi-même ? 

J’ai commencé à faire beaucoup de recherches sur la physique quantique qui est l’étude de l’infiniment petit. J’ai découvert que la physique quantique pouvait nous aider à mieux comprendre l’intuition, les émotions, la notion de somatisation. Elle permet aussi de faire des ponts intéressants avec le développement personnel quand on parle de la loi  de l’attraction par exemple. Et je me suis aperçue que mes symptômes étaient liés à un facteur émotionnel.

Nous sommes énergie. Notre corps possède un courant électrique, bien que très faible. Cela implique que nous possédons un champ électro-magnétique autour de nous – une aura dans un langage peut-être plus spirituel. Ce dernier interagit avec tout ce qu’il y a autour de lui.

A la base tu es une scientifique…A ton avis, pourquoi ne parle-t-on pas plus ouvertement de ces approches énergétiques ? 

Dans les études que j’ai pu lire, ce qui ressort souvent c’est que malheureusement nous sommes dans un monde de finance. Et beaucoup de théorie de la physique quantique cassent beaucoup de théories du monde matérialiste. Mario Beauregard, chercheur en neuroscience canadien en parle très bien. Toutes ces études ne sont pas financées à grande échelle, il y a peu de visibilité.

Quel message aimerais-tu faire passer aux lecteurs ?

J’aimerais inviter chacun à aller fouiller, à se questionner… A l’heure actuelle, nous ne connaissons pas tous les mystères de la vie. Mais des travailleurs de l’ombre mettent petit à petit en lumière ce que beaucoup ont expérimenté. Il y a quelques années on disait que la méditation, c’était n’importe quoi. Aujourd’hui, on en parle partout et des études sérieuses sont réalisées. L’expérience ne demande pas un doctorat en science neurologique à partir du moment où vous ne vous mettez pas en danger. Alors expérimentez. Questionnez.

Bien sûr, je ne dis pas que l’énergétique fait tout. Les médicaments ont leur importance. Mais je pense que si nous avons des angines qui reviennent à répétition, c’est peut-être que notre corps nous communique quelque chose que nous n’avons pas entendu (c’est subtilité que nous devons retravailler !). 

Avec le confinement, j’ai essayé de mieux manger, de prendre soin de moi et de faire plus d’activités physiques. Et malgré des décisions difficiles à prendre, j’ai remarqué que mon état d’esprit avait changé via ces ajustements “physiques”. Nous avons un pouvoir énorme.

Mon message principal est donc d’inviter chacun à expérimenter, à être sceptique de tout. J’aime le 5ème accord Toltèque qui dit : « Soyez sceptique mais apprenez à écouter ».

Aurais-tu des références à nous conseiller ? 

Quelques idées pour commencer une quête de sens ou la peaufiner :

  • Un reportage de Corine Sombrun (à voir absolument) – à décliner sur toutes les études menées sur la transe cognitive.
  • Être conscient – Conférence en novembre 2019 créée par la librairie Lorientaise “Quand les livres s’ouvrent” – Petit budget pour une conférence très riche (synchronicités et physique quantique, transe cognitive appliquée en milieu médical et ses premiers tests, …)
  • « Un saut quantique de la conscience – Pour se libérer enfin de l’idéologie matérialiste » – Un livre de Mario BEAUREGARD

Vous pouvez suivre Claire et ses posts sur le développement personnel, le dépassement de soi ou encore l’environnement sur Linkedin.

Lire d’autres témoignages de transformation ? Découvrez le parcours d’Adeline Demesy, remise d’un cancer du sein à un stade avancé.

Envie de témoigner ?

Nous vous invitons à contacter la rédaction à etsionsouriait@loptimisme.com

Propos recueillis par Eva Mazur.

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